Deux frères jumeaux séparés dès le couffin : le premier, enlevé par un voleur puis abandonné, est recueilli par un cochon et devient fermier ; le deuxième est le vil seigneur du château à proximité de là. Alors que le royaume est menacé par la guerre et que l'on réquisitionne des soldats, les deux frères vont se trouver réunis [Nomination Oscars 1996].
Un petit bonhomme entièrement nu tente de garder l’équilibre, posé sur une planète bleue sortie tout droit d’un dessin de Saint Exupéry, et s’ennuie jusqu'à ce que la main du créateur veuille s’intéresser à lui... [Nomination Oscars 1992]
Reprenant le principe du micro-trottoir des spots pour Le confort électrique (sans le contexte publicitaire). Il s’agit ici d'une interrogation des animaux d’un zoo, pour connaître leur réaction vis-à-vis de leur enfermement. Les ours polaires semblent s’en accommoder, tandis que d'autres comme les hippopotames ou les tortues n'hésitent pas à se plaindre directement à la caméra. Le plus connu des courts-métrages d'animation de Nick Park, avant les Wallace & Gromit [Oscar 1993 du meilleur court métrage d’animation].
Série de spots publicitaires conçus pour vanter les bienfaits du chauffage électrique à nos voisins britanniques. Une caméra interroge sur le ton du reality show plusieurs familles d’animaux (cochons, pandas, perroquets...).
Dans un décor extrêmement minimaliste et enfantin, deux vagues cousins de Monsieur Patate s’entretuent sur une voix off s'adressant visiblement aux tout-petits. Les mutilations réciproques sans pitié vont crescendo !
A la suite d’un mauvais de crédit qui lui a fait vendre son âme au diable, voilà Auntie propulsée en enfer, laissant seule au monde sa nièce, une charmante blondinette aux yeux exorbités… Pas pour longtemps du moins : ayant oublié son sac à main, elle reprend possession de son enveloppe humaine, déjà en décomposition, et retourne le chercher sur Terre.
En effeuillant la marguerite (qui pousse des petits cris quand on la touche), un bellâtre narcissique va être la victime de son environnement. A chaque pétale correspondant à un "Je t’aime", il se retrouve littéralement aux anges ou reçoit des baisers fougueux venus de nulle part ; à chaque autre pétale arraché, il risque de mourir par manque d’affection. La situation s'empire au fur et à mesure...
Après un générique digne d’un épisode des Monty Python, ça part dans tous les sens pour arriver à à peu près n'importe quoi. Rex the Runt est un chien en forme de pain d’épice qui présente un show sans queue ni tête, bourré de références pour cinéphiles (d’Eraser Head à Scarface). -> Le DVD présente ici deux des trois pilotes existants, d'une série qui compte 13 épisodes