Les mouvements d’ultra-droite, jugés de plus en plus dangereux, sont aujourd’hui dans le collimateur de la justice. La plupart d’entre eux ont été dissous et même interdits. Regroupés en réseaux clandestins, ces groupes prônent l’action violente, dans le but de précipiter la guerre civile raciale. Ils se réorganisent, partout en Europe, et sont super connectées. Forums internet, réseaux sociaux et même ouvrages négationnistes vendus sous le manteau.