Baronski en a assez d'être un petit commerçant et décide, aidé de sa fille Esther, de s'essayer aux grandes entreprises. Pourquoi ne pas être producteur de cinéma par exemple ? Mais c'est plus facile à dire qu'à faire et il est bientôt relevé de 100 000 francs par un escroc. Intrépide, il produit un film écrit par un jeune scénariste, Maurice Rogier, découvert par sa fille mais ne croit pas qu'il puisse devenir un succès. Esther, de son côté, décide de faire projeter "L'ange que j'ai vendu" dans une salle de cinéma locale et le film remporte immédiatement un franc succès. Tout est bien qui finit bien, Esther épousant Maurice en plus.
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