C’est la cohue de mai à la marina de Saint-Mathias-sur-Richelieu. Le personnel travaille d’arrachepied tandis que chaque plaisancier veut sa mise à l’eau tout de suite.
La navigation de plaisance n’est pas toujours plaisante, surtout si les réparations et entretiens coûteux retardent les mises à l’eau. Trois capitaines, trois bateaux, trois débuts de saison bien différents : sur l’eau, au quai et… en cale sèche.
L’expression « des vacances à l’eau » prend tout son sens en saison de navigation de plaisance. Si certains plaisanciers préfèrent un été de long fleuve tranquille, d’autres le ponctuent de week-ends de party aux écluses de St-Anne-de-Bellevue.
Deux nouveaux plaisanciers achètent un imposant yacht de 1,5 M$ comme tout premier bateau. Après une semaine de formation, ils prennent les commandes : quelles embûches les guettent sur l’eau? Et quels bonheurs inattendus vont-ils découvrir?
Deux amateurs de bateaux antiques parlent de ce qui les fait tant aimer ces embarcations au cachet unique. Plus près des berges, des clients de la marina Saint-Mathias inaugurent la nouvelle « plateforme des joyeux naufragés ».
À chaque plaisancier son parcours unique. Et pourtant, entre un jeune couple qui planifie vivre sur l’eau, et un retraité qui jouit de ses réalisations de vie – dont un chalutier et un phare totalement remis à neuf – plusieurs points communs existent.
Le réseau de navigation intérieur du Québec a tout pour plaire à tous les types de plaisanciers. Il est possible d'y trouver des canaux paisibles et des mégas partys pour 800 embarcations.
Des plaisanciers ayant complété The Great Loop – La grande boucle – se racontent. Parcours nord-américain d’environ 12 000 km, la Boucle est pour plusieurs un voyage unique, une aventure qui se vit au jour le jour, et qui fait grandir.
Pourquoi un plaisancier décide-t-il d’acheter neuf, usagé ou « à remettre en état »? Qu’il dépense des milliers de dollars pour du clé en main ou des milliers d’heures à retaper un vieux modèle, ou qu’il soit atteint de la « maladie du pied », chacun a ses raisons.
C’est la folie de fin de saison : quelque 750 bateaux doivent être sortis de l’eau, lavés, inspectés et placés dans l’entrepôt. Tandis que le personnel de marina trime dur, les plaisanciers font une dernière fête sur les quais pour se dire « à la saison prochaine »!